Appartement de la comtesse Eloise-Marie de Pitray

"J'en suis ravi. il va peut-être pouvoir m'aider et vous aussi. J'ai reçu cette lettre de menace hier."
*Lui tend une seconde lettre.*

Surprise, Eloise-Marie lut la lettre et la posa sur la table :

"J'ai bien peur de ne pas comprendre..."

*Baisse la tête*
"Dans mon pays, comme à Sank, les guerres de religion n'existent pas. mais en passant par votre charmant pays et en étalant ma non croyance, je me suis fait un ennemi redoutable dans la religion. Ils veulent assassiner ma femme et élever ma fille selon leurs préceptes. Mais je m'y refuse, ils vnt en faire une servante pour couvents."

"Je vois, mais il alors comment avez-vous pu approcher le Roi,comment avez-vous pu le reconnaitre Roi de France par la volonté de Dieu, si vous n'êtes pas croyant vous même? "

"Sa majesté et ma fiancée ont conclu un traité de paix entre leurs deux pays."

"Ainsi, votre fiancée à accepter de conclure une pacte avec un monarchie de droit divin alors qu'elle offre à ses sujets la liverté de culte? Je ne comprends plus rien..."

"Ce pacte est purement d'ordre politique, la religion en est excluse."

"Decidement, je ne comprends pas mais bon, chacun à sa propre conscience...Vous proposez quoi? Savez ou ce jeune homme est allé?"

"Je l'ignore. Il est temps pour moi d'y aller. Je gageque nous noureverrons sous peu. Au revoir, madame."
=> eglise

"Aurevoir Monsieur, trop de questions m'effleurent encore les levres pour nous quitter ainsi..."

Eloise-Marie rentra da son audience avec la reine, epuisée, decidement, il y avant tant de chose qu'elle ne comprenait pas à Paris...
Elle enleva son manteau et s'asit sur le bord de son lit quand elle paerçut la lettre de Michka, elle la relut avec attention, ces mots trottaient encore dans sa tête...

*Le rocher est toujours le même, l'érosion n'a pas de prise sur lui, où passe le vent, le roseau se releve toujours alors que le chêne faiblit...*

Elle se mit a faire les cents pas dans la piece, il y avait forcement une faille...Un je ne sais quoi qui la mettrait sur la voie!

*Bon amdettons que le rocher c'est lui, l'érosion la fuite, le vent le gouvernement, le roseau c'est moi! mais qui est ce chêne qui doit me mettre sur la voie!*

Elle attrappa son manteau et partit pour l'église!